
Baptiste Cupit
- 23 juillet 2025
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J’ai le plaisir de vous présenter un artiste à part, un créateur d’univers qui ne cesse de s’étendre au fil du temps. Son travail est animé par des principes et des valeurs fortes, presque en résistance face au monde d’aujourd’hui : des valeurs qui cherchent à pousser, fleurir, grandir, malgré le béton qu’on leur oppose.
À travers son art, il explore un monde parallèle, à la fois numérique et profondément ancré dans notre réalité terrestre. Une terre généreuse, égale envers tous ses occupants, qui ne demande qu’une chose en retour : du temps, de la patience et de l’amour.
Cet artiste a trouvé, dans l’expression artistique, un moyen d’exposer ce qu’il ressent au plus profond de lui. Grâce à une diversité de médiums, il nous ouvre les portes de son univers intérieur, riche, sensible, en constante évolution.
Son objectif ? Rendre visible l’invisible. Partir en quête de ce qui ne se voit pas au premier regard. Chacune de ses œuvres nous invite à une exploration : de soi, du monde, de l’inconscient.
Quelques-uns de ses univers créatifs :
Calligraphie :
Depuis 2015, il développe une calligraphie unique, née d’un défi personnel : écrire aussi vite que rappe Eminem. De cette expérimentation sont nées des formes, des lettres, des rythmes qui interrogent notre façon de communiquer. Comment se fait-il qu’avec autant de langages, on ait encore tant de mal à se comprendre ? Chaque œuvre calligraphiée devient ainsi une double lecture, visuelle et symbolique.
Nivertagne :
Un mot inventé pour désigner ses « mondes oniriques ». Il s’inspire de mythes, de légendes et de folklores venus de tous les continents pour créer des images poétiques, parfois accompagnées de haïkus, où chaque détail raconte une histoire.
Nuances :
Contre le mythe de la « page blanche », il répond par l’action : il couvre la feuille de courbes, de lignes, de matières (graphite, fusain, charbon), puis en révèle les formes cachées par un travail minutieux de nuancement.
Tachisme :
Comme lorsqu’on cherche des formes dans les nuages, il s’amuse à faire naître des mondes à partir de taches. Un jeu d’interprétation libre, qui prend vie à travers une large palette de techniques.
Voublêve :
C’est à la fois son nom d’artiste et celui de son jumeau imaginaire, qui vit dans un monde invisible. Pour le faire exister ici, il peint avec des pinceaux dont la pointe est faite de ses propres cheveux. Ensemble, ils ouvrent une brèche entre les mondes – l’un explore l’autre, pendant que le second s’invite dans notre réalité.